Capteurs et vecteurs en milieux extrêmes : application aux milieux polaires et subpolaires

Ce colloque – organisé par le CNRS à travers la Mission pour les initiatives transverses et interdisciplinaires – souhaite rassembler des chercheurs et personnels techniques appartenant à des champs disciplinaires variés et intéressés par l’ingénierie de nouveaux capteurs ou vecteurs pour des applications en géosciences, sciences du vivant et sciences de l’homme dans le contexte exigeant des milieux polaires et subpolaires.

Il s’agit de dialoguer entre les disciplines afin que les chercheurs / personnels techniques issus de disciplines fondamentales comme celles de l’INSIS, l’INP, l’IN2P3 ou encore l’INSB puissent prendre connaissance des recherches plus appliquées [1] conduites au sein des instituts INSU, INEE et INSHS et reposant sur des capteurs ou vecteurs adaptés aux contraintes environnementales rencontrées dans ces milieux extrêmes polaires et subpolaires (contraintes de température, vent, éloignement, maintenance). En miroir, les chercheurs en sciences plus appliquées pourront prendre connaissance des derniers développements conduits dans les laboratoires des disciplines fondamentales, pouvant répondre partiellement ou en totalité à leur cahier des charges.

Le colloque sera organisé autour de sessions plénières comprenant quelques présentations illustratives de collaborations réussies à la croisée des disciplines au sein de ces milieux, ainsi que de longues sessions posters offrant un espace informel d’échanges. Chaque poster sera introduit oralement en session plénière sous format flash, afin de faciliter les échanges ensuite. Une table ronde complètera l’événement.

Comité Scientifique d’organisation

  • Jérôme CHAPPELLAZ (DGDS du CNRS et Institut polaire français) – Chair
  • Laurent CHAUVAUD (INEE)
  • Gilles DESPAUX (Club EEA, Club des enseignants et des chercheurs en électronique, électrotechnique et automatique)
  • Alexandre GEFEN (INSHS)
  • Roberto GRILLI (INSU)
  • Pierre-Yves JOUBERT (INP)
  • Yvon LE MAHO (IN2P3)
  • Hervé MOREAU (INSB)
  • Fabien PASCAL (INSIS)

[1] Quelques exemples : les observations météorologiques, les instruments embarqués sur des animaux marins, les mesures océaniques en contexte de glace de mer, la métrologie humaine par la téléphonie. La mesure précise, répétitive, calibrée, miniaturisée, peu consommatrice d’énergie, spatialisée, à pas d’échantillonnage temporel court, au spectre élargi concernant les variables abordées, transmissible en réseau, constitue un enjeu essentiel pour beaucoup de sujets abordés par ces communautés.

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